D'accord. Pour le moment, j'ai le chapitre 1, 2 et 3 qui sont fait. Je suis en train de me faire le chapitre 4 en ce moment.
Chapitre 1 :Le 31 décembre 1998 à Neo-Lark, un groupe composé de trois hommes se retrouve dans un entrepôt désinfecté, qui se situe en face à un aéroport. L'un d'entre eux porte un costume cravate noir et blanc se tient droit devant un semblant de fenêtre. A son oreille droite, il porte une oreillette blanche assez distraite. Grâce à ses jumelles, il fixe l'avion qui commence une descente sur la piste d'atterrissage sous un bruit assourdissant. A sa droite, un jeune homme de 21 ans. Il avait des cheveux noir à mi-chemin entre le court et le mi-long. Le torse à l'air et musclé montre un important entrainement, sous un manteau noir. Les bras croisé, il semble endormie. Son teins jaunis donne l'impression d'un métissage japo-européen. A ses côtés, une longue et large épée est placée contre le mur. Une merveille dont la couleur de l'acier avait une étrange couleur noir et une croix gravée dessus. En face de lui, assis sur un morceau de pilier détruit, se tient un homme aux cheveux courts et argentés. Il porte au dessus d'un maillot et un pantalon noir, un long manteau blanc. Ne se sentant pas concernée par les évènements, il plonge ses yeux en amandes bleu dans un livre de poche. A sa droite, on constate une sorte d'épée à double tranchant d'une apparence peu commande. Enfin, il lève la tête de son livre. Puis, il se met à brisé le silence pesante de la scène.
"Ali, nomme-t-il avec un calme déconcertant. Il faut que tu entendes ce passage.
- Mmm, grogne le dormeur qui s'émerge de son rêve. Quoi, Dante ?
- "Il me semble parfois que mon sang coule à flots, ainsi qu'une fontaine aux rythmiques sanglots. Je l'entends bien qui coule avec un long murmure, mais je me tâte en vain pour trouver la blessure", récite le poète.
- Je me demande quel genre de blessure est ce ? Coupe l'intéressé. Et c'est de qui ?
- Un poète français, informe Dante en regardant la couverture de son livre. Charles Baudelaire, les fleurs du mal, si ça t'intéresse.
- Alastor, Dante, elle est là, informe le troisième homme."
Soudain intéressé par la situation, Dante ferme son livre et rejoint les deux hommes. Grâce à ses jumelles sorties de sa poche, il peut apercevoir les occupants de l'avion privé. C'était un homme grand et en costume marron et une jeune fille âgé de 18 ans. Elle avait les cheveux châtains dont une partie tombe sur son épaule gauche. Ses yeux d'un vert émeraude semblait imprégner d'une nostalgique profonde. La droiture de sa position et ses affaires impeccables montre à la richesse de sa famille et l'éducation stricte qu'elle reçut depuis son enfance.
"Alors, c'est elle qu'on doit kidnapper ? Questionne avec surprise Alastor.
- Ce n'est qu'une gamine, constate Dante.
- C'est bien plus qu'une gamine, s'émerveille leur compagnon. Elle est la clé du passé et de notre avenir. Votre but est de vous en emparer. Et à n'importe quel le prix."
D'un seul coup, la jeune fille tourne son regard vers eux. Dante prend le réflexe de se cacher derrière un mur tendit que les yeux d'Alastor plonge dans les yeux de la jeune fille. C'est alors qu'il est parcouru d'un étrange frisson. Il était persuadé qu'elle les avait remarqués.
"Qu'avez-vous ? Dante, Alastor ? Demande l'homme.
" Elle nous a localisé, annonce Alastor avec une boule dans la gorge.
- Impossible, contredit l'employeur."
Alastor avait raison, la jeune fille rejoint immédiatement son père et lui pause sa fine main sur le bras de son père. L'homme, âge d'une trentaine d'année, tourne sa tête vers elle d'un air déconcerté.
"Qui à t'il, Mireille ? demande t'il désagréablement.
- Père, n'aurez-vous pas remarqué deux étoiles sur ce bâtiment ? Questionne l'enfant en montrant du doigt le bâtiment à moitié construit.
- Il n'y a pas d'étoiles en plein jours mademoiselle, rétorque l'homme colérique. Tiens-toi tranquille quand nous sommes au travail.
- Désolé père du dérangement, s'excuse la jeune fille en sachant très bien qu'il ne fallait pas insister d'avantage."
Cependant, son regard se tourne vers ses deux points lumineux qui continuent à la scruter. Elle se sent observe. Elle se frotte les bras nerveusement. Elle se sentait comme une petite sourie sous les pattes d'un chat machiavélique. Enfin, elle se trouve devant les partenaires de son père. Au début, les bureaucrates se serrent la main entre eux. Puis, le père présente solennellement sa fille en temps que future héritière de son entreprise :
"Je vous présente ma fille, Mireille. Elle me succèdera à la tête de mon entreprise.
- Je constate que vous avez une beauté tout à faire remarquable, complimente avec une profonde froideur le premier interlocuteur."
Se sentent convoité par les yeux du jeune homme de 25 ans, Mireille retire sa main. Tout son sang lui ordonnait de s'enfuir, comme si il présentait un danger pour elle. L'homme avait des yeux turquoise qui briller d'une lumière étrange. Elle porte son regard vers l'autre homme et elle constate qu'il lui donne la même impression. Ce sentiment d'impuissance s'empare d'elle comme si elle rentrait dans un monde qui n'était pas le sien. La seule échappatoire qu'elle avait, c'était de rejoindre l'hôtel le plus rapidement possible en présentant une éventuelle fatigue.
"Père. Puis-je aller à l'hôtel ? demande t'elle avec désespoir. Le voyage a été éprouvant et je ressens de la fatigue.
- Edward, appelle le père au chauffeur qui les accompagne. Emmenez ma fille à l'hôtel habituelle.
- Oui monsieur, annonce l'homme avec une certaine soumission."
Mireille salut les deux collègues de travail de son père. Puis, elle se retire aussi vite que son éducation pouvait lui permettre. Elle voulait mettre de la distance entre elle et ces lieux puant le danger.
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